mardi 1 mai 2012


Questions pour le blog : 30 avril 2012

Je me suis inscrite au cours Comment survivre au progrès? d’abord par intérêt, mais aussi pour plusieurs autres raisons. Je dois avouer que l’idée d’un cours en bloc m’intéressait, étant curieuse de voir comment les professeurs s’y prendraient pour en livrer le contenu. Je me suis questionnée sur la façon dont nous allons participer, sur les tâches que nous aurons à effectuer en si peu de temps ainsi que sur la manière de nous évaluer. Ensuite, il faut dire que le progrès est un sujet très actuel; il porte à réfléchir. Après le premier cours, je peux dire que je suis satisfaite, car plusieurs de mes questions ont trouvé réponse. En fait, je crois fermement que ce cours va m’enrichir, et ce, grâce aux discussions de groupe et aux personnes qui viendront partager avec nous leur conception du progrès. Je pourrai ensuite faire connaître le sujet aux gens de mon entourage afin qu’ils progressent à leur tour!


La vision du progrès est très complexe et peut même être personnelle. C’est ce que j’en déduis suite aux nombreuses interventions effectuées lors du premier cours. Déjà, j’en arrive à formuler ma propre définition du progrès. Pour moi, le progrès signifie un avancement, un développement, une amélioration, une progression. Ces mots sont des synonymes très positifs pour décrire un phénomène complexe, mais il faut ajouter que le progrès peut également signifier une régression ou une conséquence négative. Il est évident que le progrès comporte autant de bons que de mauvais côtés. Les mauvais côtés du progrès se traduisent parfois par un désir intense de toujours vouloir plus, sans se soucier des autres; c’est là où se trouve le problème avec le progrès. Il arrive donc, dans la société, que seulement quelques groupes gèrent certains domaines et en profitent largement, ce qui engendre des problèmes, par exemple la faim dans le monde et la crise du pétrole. Par ailleurs, il est impossible de dire avec exactitude quand et où le progrès a commencé, mais une chose est certaine, nous ne savons pas comment ni à quel moment il va finir; nous le vivons tous les jours. Par exemple, sur le plan de la technologie, des idéologies, des relations sociales et de la médecine, des progrès sont réalisés quotidiennement.    

Je me suis donc inscrite au cours Comment survivre au progrès? pour satisfaire ma curiosité, en étant bien consciente que la définition que donne aujourd’hui au mot « progrès » va sûrement changer d’ici les trois prochaines semaines, puisque j’aurai approfondi mes connaissances dans différents domaines. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire