Lecture du chapitre 5
Ce n’est qu’une machine à suicide
J’ai trouvé le chapitre 5 riche en concepts intéressants.
J’aimerais en citer quelques-uns, en commençant avec celle-ci : « Absorbés
dans l’ici et le maintenant, nous perdons de vue notre itinéraire dans le temps
et oublions de nous poser la dernière des questions de Paul Gauguin : Où
allons-nous? »

Grâce à la lecture du livre de Ronald Wright et aux discussions, je
réalise que là parfois, les gens agissent par «lâcheté» (bien sûr avec quelques
exceptions) ou manque de temps. Lâcheté, car ils ne veulent pas sortir de leur
petit confort, manque de temps pour aller porter les boîtes de recyclage,
lâcheté ou manque de temps pour se préparer un bon repas. Il s’agit là d’un
énorme piège du progrès, car « l’effondrement, s’il doit survenir à
nouveau, se fera cette fois à l’échelle du globe […]. La civilisation mondiale
se désintégrera dans son ensemble ». Alors, si nous continuons à dire
qu’on manque de temps, nous allons voir ce qu’un vrai manque de temps peut
causer.
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