Lecture du chapitre 4
J’ai un peu peur de me répéter, étant donné qu’il est question de
l’effondrement de deux autres civilisations, soit celles des Romains et des
Mayas. Dans ce chapitre, un extrait qui m’a touchée, c’est « À mesure que
la crise prenait de l’ampleur, la réaction des dirigeants ne fut pas de
chercher une nouvelle voie, de réduire les dépenses royales et militaires,
d’essayer de remettre la terre en état de l’aide du terrassement, ni d’encourager
le contrôle des naissances. Non, ils se braquèrent et continuèrent de faire ce
qu’ils avaient toujours fait, seulement en pire. » En lisant la dernière
phrase, je pense à l’épicerie. Hé oui, l’autre jour, je me suis aperçue que
maintenant, nous sommes trop lâches pour couper nos pommes, alors nous en
achetons qui sont déjà toutes coupées. Je ne comprends pas : est-ce cela
le progrès? Je ne peux pas y croire!
Et si c’était le
cas, qu’est- ce qui nous attend dans une vingtaine d’années? Mon but n’est pas
de critiquer les produits dans les épiceries, mais je me dis que s’ils existent,
c’est qu’il y a une demande pour ce genre de choses, ce qui est terrible.
Je pourrais aussi
parler des repas congelés, qui sont très populaires. Évidemment, on dira que
ces mets sont pratiques pour les gens pressés ou pour ceux qui travaillent tard
afin d’arriver à se payer tout ce qu’ils veulent. De plus, souvent, nous ne
savons même pas ce que comportent ces produits, mais nous les achetons quand
même, étant donné le manque de temps où le fait que ces produits sont moins
chers. Nous ne pensons pas à notre santé ni à la pollution causée par le
suremballage de ces marchandises. Est-ce du progrès?
La prochaine fois
que vous irez faire l’épicerie, pensez-y. Personnellement, je ne m’étais jamais
questionnée sur ce qui se passait dans les épiceries auparavant, et je suis
certaine que ma constatation n’est que la pointe de l’iceberg, mais je voulais
partager « mon choc » après la lecture du chapitre 4.
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